St Leigh of Sybil
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Sa majesté Lucius.

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Sa majesté Lucius. Empty Sa majesté Lucius.

Message par P. Lucius Jude Dim 1 Juin - 18:05


Nom et Prénom

Sa majesté Lucius. Truc_p10

Nom : Jude
Prénom : Penny Lucius
Surnom : Luce
Age : Dix-huit ans
Sexe : Femme
Origine : Anglaise
Membre du personnel [ ]  Elève [ ]  Chef d'équipe [X]
Maison et classe OU place dans le personnel Wolf's House, classe B
Armes favorites Taurus Raging Bull, FA-MAS FELIN, Beretta 92FS Vertec, KM2000.
Histoire



[Affaire BLACK]
[Enquête classée top secrète]
[Agents LEWIS et LARSEN sur l'affaire]
[Affaire classée le 07/06/96]
[Rapport du 08/06/96]
Mr. Léo Lucius BLACK, arrêté le 25/05/96 à 02:41. Accusé de haute-trahison à l'armée et à l'état Britannique et de rétention d'informations. Procès le 04/06/96. Condamnation : Peine de mort. Exécution par injection létale. Prévue le 06/06/96. A été effectuée ce jour.
Rapport présumé entre Mr. BLACK et l'organisation Sybil. Rapport non prouvé. Mr. BLACK. N'a cédé aucune information.
Disparition de Mlle Jenny JUDE le jour de l'arrestation. Rapport présumé entre Mlle JUDE et Mr. BLACK.


Ce dossier, si les haut gradés de Sybil savaient que je l'ai, il serait détruit. Et moi avec.
Léo Lucius Black était, en plus d'être un sergent chef de l'armée de l'air Britannique, un agent de Sybil. Le genre d'agent doué, mais aussi obéissant et fidèle à l'organisation. Si bien qu'il a tenu sans parler malgré douze jours de torture.
Ce fameux Mr. Black, c'était aussi mon père.
Comment je le sais ? Ma mère. Jenny Jude.
Je fais partis des rares agents de Sybil a connaître quelques brides de mon passé. Un père fidèle à l'organisation jusqu'au bout, une mère civile qui avait fuit dès le jour de la disparition de mon père pour protéger sa progéniture : moi.
Je suis née le 06/06/96, le jour de l’exécution de mon père. Je trouve ça asses ironique.
Ma mère à réussi à fuir encore quatre ans durant. Quatre ans pendant les quels elle a littéralement parcouru le monde entier. Si bien que c'est en Libye que Sybil nous a retrouvé.
Tout est allé vite, j'étais jeune. Mais je me souviens avoir été assise en face de ma mère, dans une limousine noire, entourée de deux hommes en noir. Je sais que ma mère avait un air terriblement résigné. Je me souviens en suite qu'un des hommes m'a calmement expliqué que si quelqu'un me demandait mon nom, je m’appelais Penny. Je devais aussi dire que l'homme en question était mon père, et que son ami était mon oncle. Ma mère était ma tante, et elle s’appelait Élise. Nous étions Libyens et nous accompagnions mon père et mon oncle qui étaient mutés en Angleterre.
Je me souviens avoir bafouillé ces informations à un contrôleur près de l'aéroport. Je me souviens qu'il m'a souri et que j'ai pu suivre ma mère et les deux hommes.
Je me souviens ensuite d'une deuxième limousine. Puis elle s'est arrêtée devant un grand bâtiment, de bureaux. Ma mère m'a regardé, et elle m'a glissé une barre chocolatée achetée à l'aéroport. Puis elle est descendue de la voiture et je ne l'ai plus jamais revue. Je me doute en revanche que Sybil s'est occupé d'elle. Elle en savait bien trop.

J'ai été mutée au sud de l'Angleterre. Un dortoir, un lit dur, peu de lumières, des gémissements. Je suis arrivée à la tombée de la nuit dans ce qui allait être chez moi pour six années.
Quand je suis arrivée au dortoir, les autres filles dormaient. Nous étions huit.
Je me suis dirigée vers le lit du fond, contre le mur. À sa droite, il y avait trois étagères dans le mur. Je sais que je me suis assise sur le lit, perdue. J'ai ouvert mon sac à dos, sortie mes quelques habits. Je suis tombée sur la barre chocolatée et j'ai pleuré.

À partir d'ici, seuls quelques événements ont marqués ma vie. Comme le jour où, deux semaines après mon arrivée, je me suis battue avec Calvin, un petit garçon de mon âge, pour une chaise de la cantine.
Mais le premier à vraiment m'avoir marqué est celui de l'arrivée de Zayn.
J'avais huit ans. Cela faisais déjà quatre ans que j'étais à l'institut, formatée pour devenir un mouton. Aujourd'hui encore, je considère que c'est Zayn qui m'a sauvée.
Il avait un peu plus de sept ans. Il était là car il avait mis feu à son ancien institut. Avec lui, il y avait d'autres camarades. Mais ils ne semblaient pas l'aimer.
Je suis vite devenue amie avec Zayn. Ou plutôt, Zayn est vite devenu ami avec moi. J'étais une petite calme mais haineuse et impitoyable. Je ne désobéissait aux adultes sous aucun prétexte et fuyais les autres enfants. J'étais dévouée à ceux qui s'occupaient de nous et avait coupé tout lien avec mon passé. Zayn était mon inverse. Il était flambant, hyper actif, joyeux. Il parlait toujours avec enthousiasme et méprisait Sybil. Car sa maman lui avait inculqué des valeurs.
Zayn, avant d'arriver à Sybil un an avant, avait appris à aimer. Zayn avait aussi de l’espoir. L'espoir de revoir sa mère. Nous, nous étions résignés.
Rapidement, j'ai commencé à réponde aux adultes. Si je n'étais pas d'accord, je le disais. Zayn se rebellait, je le faisais aussi.
Nous étions les deux petits turbulents de l'institue.

A nos dix ans, Zayn et moi avons été mutés dans le même institue. Ce dernier n'était pas en Angleterre, mais en Chine. Pourquoi si loin ? Car le chinois était une langue qui se rependait de plus en plus. Et que l'anglais ne nous suffisait pas.
Zayn et moi avons continué de jouer les rebelles. Avec nous, nous avions plusieurs petits camarades, comme Sue ou Charly. Et nous avons pus continuer notre petite rébellion jusqu'à nos douze ans.
Jusque là, les punissions n'avaient pas dépassées les coups. Et ces derniers n'avaient fait qu'attiser notre haine.
Cette fameuse nuit du 12/07/08, Zayn, Sue, Charly et moi nous étions levés aux alentours des deux heures du matin. Sue avait faim, alors nous étions décidés à aller piller le garde-manger. En soit, ce n'était pas un crime. Mais c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase.
Nous nous sommes fait attrapés. En flagrant délit.

Toute l'équipe de surveillant nous entourait. Il y avait aussi le directeur, et son bras-droit. Et c'était effrayant. Je me souviens que nous avons tous étés saisis. J'ai entendu Zayn crié mon nom, les pleurs de Sue et les insultes de Charly. Puis, brutalement, j'ai été lancée dans une cellule.
J'ignore combien de temps j'y suis restée. Longtemps. Cette fois, ils ne voulaient pas nous punir. Il voulaient nous briser. Briser toute notre âme, tout notre espoir, toute notre volonté.
D’abord, j'ai sentie la soif. Puis la faim. Il y a eu la fatigue et je me suis endormie. A mon réveil, j'avais de l'eau. La soif est partie, mais la faim est restée. Quand la fatigue est revenue, j'ai tenté de m'endormir. Mais la faim prenait bien trop de place. Puis j'ai perdue connaissance. De temps à autre je me réveillais, mais j'étais incapable de faire le moindre mouvement. La soif est revenue mais je n'avais plus la force de l’assouvir.
J'avais peur aussi. Peur de la mort, mais surtout, peur pour mes compagnons.
Puis la porte a été ouverte. On m'a soulevée et j'ai regagné ma chambre.
Quand je me suis réveillée, j'étais monstrueusement maigre, mais la faim, la soif et la fatigue étaient parties. Plusieurs heure après, on est venu me chercher. C'était le bras droit du directeur. Il m'a demandé de le suivre et j'ai obéie. J'étais fatigué, de l’intérieur. Je ressentais un sentiment qui jusque là m'avait été inconnu, et qui plus tard je l'appris était la lassitude. La lassitude, lassitude qui ne ma jamais quittée. Mais qui ne s'est jamais transformée en résignation.
Et on m'a amené dans le hall. Là, assis au sol, j'y ai vu Charly. Quand il m'a vu, il a relevé la tête. Mais rapidement, il a détourné le regard. J'ai suivi ce dernier et j'ai vu un corps. Allongé sur le sol. J'y ai reconnu Sue.
Mais avant que je ne puisse voir si elle vivait, quelqu'un est arrivé. Cet homme était suivi de Zayn. D'abord j'ai été soulagée de le voir, j'ai crié son nom. Mais quand il a relevé la tête, un frisson m'a traversé le corps. Et en voyant ses yeux vides, j'ai senti que tout était fini.
Ils m'avaient lassée, mais Zayn, ils l'avaient brisé.
Dans les mois qui ont suivi, j'ai vainement tenté de le réveiller ; Je lui parlais de sa mère, de ses convictions.
Mais rien y faisait. Zayn avait été enfermé avec Sue, il l'avait vu mourir.
Si Zayn était mon premier amour, c'était Sue qui était le sien.
Zayn était brisé, Sue était morte, Charly se renfermait sur lui-même.
Seule, toute envie de rébellion m'avait quittée.
Pendant deux ans, j'ai surfé à la frontière de la résignation. J'ai obéi et j'ai suivi le troupeau.
Puis la haine est revenue m'habiter un soir.
J'avais retrouvé mon petit sac. Celui qui m'avait accompagné quand Sybil m'avait emmenée. Et quand je l'ai posé au sol, j'ai entendu un bruit étrange. En observant, j'ai remarqué quelque chose : j'ai soulevé le fond du sac, et dessous, j'y ai trouvé un petit dossier.
Dedans, il y avait un mot de ma mère, qui me disait qu'elle m'aimait et que je devais toujours faire ce que je croyais juste. Et puis il y avait le dernier rapport écrit sur mon père. Et puis il y avait une photo, de se dernier et de ma mère.

J'ai eu quinze ans et je suis retournée en Angleterre. Zayn, lui, est resté en chine. Charly aussi.
Avec moi, j'ai pris le collier que m'avait offert Zayn pour mes onze ans, les dossiers légers par ma mère, ma haine, ma lassitude et ma colère.
J'ai rejoint la Wolf's house sans trop d'hésitation. J'aimais les armes, j'aimais l'idée d'avoir le pouvoir de vie ou de mort.

Là, j'ai connue Kaliel. Un chef d'équipe de la même maison que moi. Il m'a appris à respecter mes camarades et à me faire respectée. Je suis tombée amoureuse de Kaliel et nous sommes sortis ensemble.
Kaliel a été tué dans une mission.
J'ai été blessée, mais moins que quand j'avais perdu Zayn.
Et j'ai été promue chef d'équipe à sa place.

Maintenant, j'ai dix-huit ans. Dix-huit ans, ma haine, ma lassitude, ma colère, le collier de Zayn, une réputation de tireuse d'élite et une photo de mes parents.
Je suis une agent de Sybil. Mais une agent rattachée à son passé.
Je ne suis pas brisée.
Et jamais je ne serais résignée.


Caractère





Quelques témoignages..

« Luce, avec Zayn, c'est la leader. C'est elle qui prévoit quelle connerie on fait. C'est elle qui dit si c'est bien ou pas. Mais aussi, c'est elle qui nous répète que si on est pas d'accord, on doit le dire. Luce et Zayn sont complémentaires. Zayn fonce tête baisser, il nous donnent des buts effroyablement lointains. Luce réfléchis, elle nous donne les moyens de les atteindre.
Luce, c'est vraiment une fille forte. Elle dit toujours que tout ira bien, et quand il y a un problème, elle prend tout sur elle. Et ce qu'elle est têtue ! Même Zayn n'arrive pas à la faire changer d'avis ! »
Sue, témoignage datant de fin 2007.

« On a toujours vu Lucius comme une reine. Celle qui fais la loi. Impitoyable mais juste.
Lucius prône la liberté et l'indépendance par rapport aux autres. Selon elle, quelqu'un de fort est quelqu'un qui se connaît et qui se respecte. Mais si les gens choisissent de la suivre, ils doivent respecter certains principes. Et le plus important est la fidélité : l'homme traître est un homme mort. Et c'est toujours, toujours Lucius qui se charge de la donner, la mort.
En fait, Lucius, on dirait qu'elle veut tout faire par elle-même. Quand il arrive quelque chose, elle en prend toute la responsabilité. Même quand elle n'y peut rien, on voit qu'elle culpabilise. Je crois qu'elle ne comprend pas qu'elle ne peut pas tout prendre sur elle. »
Charly, témoignage datant de fin 2007.

« Quand Lu' est arrivée, elle était perdue. Son esprit était plongé dans la haine, dans les regrets et dans la colère. Au fil du temps, elle s'est calmée. Elle a abaissé ses défenses, sa barrière de froideur, de sarcasme. Petit à petit, j'ai vu que ses sourires narquois ou jaunes se transformaient en sourires francs, encourageants, parfois pensifs. J'ai pu découvrir, alors qu'elle me faisait confiance, que cette meneuse cachait un côté pensif et profondément déçu du monde. Elle perdait ses discours sur la loyauté envers sois même et sur la force pour de longs récit sur l'horreur de l'humanité.
J'ai découvert qu'au fond, Lucius tue pour se donner un but. Pour avoir l'impression de faire quelque chose.
J'ai aussi connue une Lucius loin de la meneuse. Une Lucius qui a besoin de repères, de quelqu'un pour la guider. De quelqu'un pour la réconforter et l'encadrer. Elle ne supporte pas de devoir obéir ; Mais elle ne supporte pas non plus de n'avoir aucun supérieur. C'est un peu comme un chien : Elle aime dominer, mais a besoin d'un maître. »
Kaliel[/], témoignage datant de 2012


Lucius, en quelques mots...


Comportement en mission[b] : Froide, silencieuse, sarcastique, objective, autoritaire.
[b]Comportement avec les membres de Sybil
 : Agressive ou diplomatique en fonction de la situation, cassante, calme, sarcastique.
Comportement avec ses proches : Protectrice, calme, moqueuse, sarcastique, crûe, enjôleuse.
Caractère général : Sans pitié, curieuse, joueuse, fidèle, volontaire, réfléchie, objective, critique, cassante.


Lucius, ses goûts


Aime : La chaleur, l'été, l'eau, la pluie, l'action, les situations critique, avoir le dernier mot, le blanc, le bleu, ses cheveux, ses armes, la musique (le métal, le rock, le pûnk), la hauteur, observer, écrire, lire, boire, les espaces bondés, la nuit, les chips.
N'aime pas : Le froid, l'automne, l'hiver, la solitude, l'orage, les traîtres, le rap, le jaune, l'or, qu'on la contre-dise, les séries à l'eau de rose, être enfermée dans un espace restreint.



Physique



Quand on voit Lucius pour la première fois, on est frappé par plusieurs détails. Le premier est son expression. Qu'elle ait son air calme et fermé ou son sourire ironique et son air amusé, c'est une expression qui reste gravée dans notre esprit. Qu'elles sourient ou qu'elles fassent la moue, ses lèvres fines attirent toute notre attention.
Puis il y a ses cheveux. D'un blanc incroyable. Immaculés, plus clairs encore que la neige. Plus que leur couleur, il y autre chose. Est-ce le fait qu'ils sont si lisses, si doux ? Et pourtant si épais. Des cheveux uniques, incroyables, magiques.
Et en suite, ce sont ses yeux. En soit, ils n'ont rien d'incroyables. Bleus métalliques, clairs, francs. Mais ils sont cassants. La lueur qui y brille est cassante, mais aussi le contraste qu'ils font avec la pâleur de Lucius.
C'est là le dernier détail : blanc. Pâle. Clair.
Et pas seulement sa peau. Tous ces vêtements sont d'un clair incroyable. Blancs. Et pourtant, ce n'est pas un clair joyeux. En fait, c'est un clair sombre. Froid et cassant. Mais classe.
Oui, classe, c'est l'impression que Lucius donne. La classe, le calme, l'autorité.
Cette impression passe non seulement par ses yeux, par sa coupe élaborée ou par le soin qu'elle porte à elle même. Pas non plus son style vestimentaire simple et élégant. Des chemises, de jupes, des robes, des cravates, des talons.



Toi

Prénom ou pseudo : Vous m'appelez Lucius... y'a que Roro qui peut m'appeler Lulu !
Âge Quasi quinze piges.
Comment as-tu trouvé le forum ? Il est génial. Comme moi.
Qu'en penses-tu ? Il est beauuu !
Les codes du règlement : Mwahahah...
Autre chose ? No.

P. Lucius Jude
P. Lucius Jude

Messages : 3
Date d'inscription : 11/05/2014

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